Mutations du paysage urbain géographie urbaine de la Corée
Comme en Europe structure urbaine avec des éléments proprement historique (galerie, cours, parc, building autour…).
L’ambassade de France en Corée
L’ambassade de France à Hanyang (Séoul) – fondé en 1896) : la Corée n’était pas un lieu d’enjeu majeur pour la France.
Ambassade rebâtie en 1950 avec panneau peint disant camion interdit.
Eté 1996 ambassade sous un style coréen. Bâtiment surplombé par buildings environnant. En 2005 suppression du portail à l’ancienne pour un portail beaucoup plus moderne avec un vigile et promotion des études en France.
(On peut repasser tous les 10 ans dans le même quartier et ne rien reconnaître, au fur et à mesure que le temps passe on modernise ou on refait)
Le quartier de Jeongdong
Lieu où se trouvait les ambassade (Russie, France…)
La tour de l’ambassade de Russie (2005).
Le lycée de filles d’Ehwa, l’emplacement de l’hôtel Sontag. Style ancien. Sontag hôtel l’un des premiers hôtels occidentaux de Seoul Fondé par Miss Sontag, une alsacienne devenue gouvernante du roi de Corée. On raconte que le resto de l’hôtel fut le prototype du tabang.
Ce qui reste du quartier ancien est menacé, environné par les buildings.
L’ambassade Russe disparue pendant la guerre de Corée.
L’église méthodiste de Jeongdong 1897. L’Eglise n’a pas tellement changé mais un certain nombre de bâtiment se sont rajouté.
Parmi certains bâtiments du quatier il y a des murs avec des dessins comme celui de la tour de l’ambassade russe.
Le « centre-ville » : lieu de pouvoir et symbolique
Kyôngbok-kung et « Le capitole » ancien bâtiment du gouvernement japonais
De manière générale le tissu urbain est quasiment inexistant.
A côté l’immeuble du gouvernement unifié.
Sejong-no, alias « Chujak-ro »
Juin 1950 défilé des blindés nord-coréen à Séoul.
Lieux de pouvoir : le siège du gouvernement général japonais et militaire américain.
Anniversaire des 5à ans de la libération nationale : Gouvernement coréen a décidé de détruire le siège du gouvernement japonais pour redonner au paysage une allure plus traditionnelle.
Kyôngbok-kung et ses abords murailles en plâtre suivant le même tracé des vraies murailles qui ont était détruite. Ne sont pas authentique mais ils les ont reconstruites car cela attire les touristes.
Autrefois le petit pont desservant l’îlot du palais n’était pas dans l’axe allant vers la porte du palais mais au contraire à l’opposé, il communiqué à l’arrive du palais vers le pavillon.